Le pliage Pasteur

Voici une technique simple et économique d’emballage du matériel stérile permettant une conservation de la charge stérile pendant 3 mois.

   Vidéo réalisée et hébergée  par le docteur Ernenwein

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La stérilisation du matériel

En implantologie, les normes imposent une stérilisation chirurgicale. Le matériel doit donc suivre un circuit de traitement, dans un espace défini.

Le circuit de stérilisation appliqué au cabinet médical ou dentaire:

1) partie sale : déchet , décontamination

2) nettoyage (et séchage)

3) emballage et stérilisation à proprement parler

 

Le matériel nécessaire à la stérilisation.

1) bac de décontamination

2) nettoyage par ultrason ou thermodesinfecteur (ressemble à machine à laver la vaisselle) avec ou sans séchage intégré.

3) la thermosoudeuse

4) l’autoclave

Les différentes méthodes « d’emballage » des instrument à stériliser :

1) Les conteneurs sont des boites en métal qui contiennent les instruments deux types sont aujourd’hui au normes : les conteneurs avec filtre et les conteneurs avec une soupape (ces derniers permettent de conserver la charge stérile plus longtemps mais doivent être réviser régulièrement.

2) la mise sous sachet : la norme est le double ensachage (elle permet de conserver les instruments durant trois mois dans l’arsenal stérile)

3) l’emballage papier ou pliage Pasteur

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 Implant dentaire et greffe osseuse prè-implantaire à Paris :

 

Introduction à l’implantologie :

Pour le patient qui doit se faire remplacer une dent, le choix le plus fréquent, est de savoir s’il doit faire un bridge, un dentier (Stellite) ou un implant dentaire.

Bien sur, la solution la plus simple et la moins onéreuse, est le dentier qui est remboursé par la sécurité sociale. Mais ce choix n’est pas forcément le plus confortable ou le mieux toléré psychologiquement. 

Le bridge quand à lui est une solution sans chirurgie, mais qui implique de pourvoir s’appuyer sur les dents de part et d’autre de la dent manquante ; ceci implique que les dents doivent être taillées pour recevoir la partie du bridge qui prend appui. C’est donc une solution idéale si les dents, qui entourent la perte dentaire, sont déjà abimées, sinon, il faut tailler des dents saines ce qui est toujours regrettable. 

L’implant dentaire une racine de titane :

La solution de l’implant dentaire ne tient pas compte des dents adjacentes et permet de remplacer toute la dent, l’implant est alors la nouvelle racine de la dent et une couronne en céramique (ou métallo-céramique) va être fixé sur l’implant dentaire. Même si la mise en place d’un implant dentaire reste un geste chirurgical, celui-est peu risqué, et, réalisé sous anesthésie locale, il est totalement indolore.

L’implant dentaire est donc une solution simple à mettre en œuvre, fiable, durable dans le temps et confortable pour les patients permettant de retrouver des dents fixes et de remplacer l’appareil dentaire.. Si l’implant dentaire n’est pas remboursé par la sécurité social, il existe une prise charge pour les couronnes réalisées sur les implants (au même titre que toute couronne faite sur une dent dévitalisée ou inclus dans un bridge).

Greffe osseuse : 

Il faut parfois augmenter la quantité d’os restant après l’extraction dentaire par des greffes dont les différentes techniques sont exposées sur le site. L’évolution des technique permet d’alléger de plus en plus et en toute sécurité les technique pré-implantaire. 

Pourquoi ce site :

Ce site, créé par le Dr Ernenwein, chirurgien maxillo-facial et stomatologue à Paris 16, à pour but de donner une information loyale et détaillée aux patients qui doivent se faire poser des implants dentaires, et de donner aux travers de cas cliniques des exemples de ce qui est possible en terme de réhabilitation orale et maxillo-faciale liée à l’implantologie.

Par ailleurs, les étudiants de certaines formations peuvent retrouver ici une partie des supports de cours (vidéo, diaporama…).Il s’agit le plus souvent de prise de vue per-opératoire et certaines vidéo peuvent choquer les plus sensibles.

 

 

Télécharger le document d’information sur les implants dentaires

 

 

Dernière mise à jour de la page: 24/06/2012

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Pas de douleur post-opératoire : comment faire?

La pose d’implants dentaires est un acte chirurgical réalisé sous anesthésie locale (le plus souvent, parfois sous sédation ou anesthésie générale) : c’est donc un acte non douloureux.

les suites de l’intervention sont peu douloureuses et ces douleurs sont faciles à combattre avec des moyens simples :

1) Après l’intervention, appliquer de la glace pendant quelques minutes suivit d’une période de  repos et recommencer à volonté. Ne jamais mettre la glace à même la peau : mettez votre glace  dans un sac plastique (ou des sachets de petits pois surgelé)  lui même enveloppé dans une serviette éponge.

2 ) Les médicaments : prendre les antalgiques qui vous ont été prescrits…

3) Une recrudescence des douleurs après quelques jours, peut être le signe d’une complication… n’hésitez pas à demander l’avis de  votre praticien.

Comprendre les Antalgiques :

– Les Antalgiques sont subdivisés en 3 niveaux (ou paliers) que l’on peut résumer en : Antalgiques simples, Morphinique mineur, et morphinique majeur.

Niveau 1 (pour les douleurs légères à moyennes)

Paracétamol : Doliprane®, Dafalgan®, Effaralgan®

Noramidopyrine : Novalgine®, Pyréthane®

Niveau 2 (pour les douleurs moyennes à intenses) il s’agit des morphinique mineurs +/- associés à du Paracétamol

Codéine seule(Dicodin®)

Codéine + paracétamol (Efféralgan codéiné® , Codoliprane®, Lindilane®)

Dextropropoxyphène seul (Antalvic®)

Dextropropoxyphène + paracétamol (Di-Antalvic®)

Tramadol (Topalgic® , Prodalgic®)

Tramadol + paracétamol : Ixprim®

Niveau 3 :

La morphine et ses dérivés qui ne sont pas d’usage en implantologie classique.

Les Adjuvants au antalgique : les anti-inflammatoires (stéroïdien ou non ) agissent sur un les voies chimiques de production de la douleur

– les corticoides : Prednisone®, Prednisolone (Solupred®), Bétaméthasone (Celestene®), Méthylprednisolone (Medrol®), Hydrocortisone (Hydrocortisone®), Cortisone (Cortisone®), Dexaméthasone (Dectancyl®), Triamcinolone.

– les Anti-inflamatoire non stéroidien : (L’acide acétylsalicylique (Aspirine et Anacin) ,L’acétaminophène (Tylenol® et Atasol®), L’ibuprofène (Advil®, Nurofen®, Upfen® Speedyfen®…), Le naproxène (Naprosyn®), L’indométhacine (Indocid®), Le kétoprofène (Orudis®), Le diclophénac (Voltaren®)  )

L’aspirine à une action sur les plaquettes qui empêche leur agrégation lors des phénomènes de coagulation, et favorise les  saignement per opératoire et post-opératoire et sont usage péri opératoire doit être limité au prescription spécifique, sous peine de risquer des complications importantes voir graves.

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Traitement combiné d’un sourire gingival et d’une édentation partielle.

Cas clinique : 

Il s’agit en quelques photos d’exposer le cas clinique d’une patiente initialement venue consulter pour un sourire gingival.

A l’examen de la patiente on pouvait relever que ce sourire gingival était d’autant plus invalidant que le sourire découvrait un Stellite (appareil dentaire avec armature en acier) chez cette patiente de moins de trente ans…

Le plan de traitement retenu pour la patiente est le suivant :

  1. Génioplastie, greffes osseuse pré-implantaire utilisant un grand greffon ramique et l’os de la génioplastie de soustraction.
  2. Mise en place des implants dentaires
  3. Mise en place de couronnes provisoires
  4. Le Fort d’impaction (traitement chirurgical du sourire gingival)
  5. Mise en place des couronnes définitives.

 D’autres explications (cliquer sur le lien)

Voici sur un morphing les trois étapes : (double clic pour activer l’animation)

1) départ

2) après génioplastie et greffe osseuse

3) après implants dentaire et impaction par Lefort 1

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Conseils après chirurgie des implants dentaires ou greffe osseuse

CONSIGNES POST OPERATOIRES après implant-dentaire ou greffe osseuse, sous anesthésie locale

Vous venez d’être opéré. Quelques précautions sont nécessaires pour éviter les complications et assurer une cicatrisation rapide.

L’œdème (gonflement) et les douleurs

Une intervention de chirurgie buccale entraîne le plus souvent un œdème, plus ou moins important. L’œdème fait partie de la réaction inflammatoire normale de l’organisme. Il est souvent maximum vers le 3e jour et disparaît vers 8 -10 jours.Une intervention de chirurgie buccale entraîne fréquemment une douleur ainsi qu’une légère difficulté à ouvrir la bouche. L’intensité et la durée de la douleur sont très variables d’une personne à l’autre et selon la nature de l’intervention.

– CE QU’IL FAUT FAIRE pour limiter l’œdème et la douleur :

  • Appliquer, pendant 1 à 4 jours, en regard de(s) zone(s) opérée(s) une vessie de glace entourée d’un linge ou des poches de produits réfrigérés achetées en pharmacie. Dans le cas d’extraction de molaire ou de dent de sagesse, l’application de froid doit être intensive pendant les 48 premières heures (jours et nuits) après l’intervention. Vous pourrez utiliser pour cela le filet qui vous a été fourni à la clinique.
  • Dormir la tête un peu surélevée (oreillers).
  • Prendre les médicaments anti-douleurs qui vous ont été prescrits comme l’ordonnance vous l’indique. Pendant les 2 ou 3 premiers jours, prenez-les de manière systématique sans attendre l’apparition et l’installation de la douleur.

– CE QU’IL NE FAUT PAS FAIRE :

  • Appliquer des compresses chaudes sur la région opérée, s’exposer à la chaleur ou au soleil pendant la semaine qui suit l’intervention.
  • Dormir à plat.
  • Prendre de l’Aspirine (acide acétylsalicylique : ASPIRINE UPSA, ASPEGIC, ASPRO, CATALGINE) Prendre des anti-inflammatoires non stéroïdiens (ex : NUROFEN, ADVIL, NIFLURIL, IBUPROFENE, NUREFLEX, UPFEN…) ou tout médicament en contenant (sauf prescription par votre stomatologue) car cela augmente le risque de saignement. Attention, beaucoup de médicaments anti-douleurs en contiennent.

Attention : LA PRISE ASPIRINE PEUT AUGMENTER LES SAIGNEMENTS, VOUS DEVEZ IMPERATIVEMENT AVOIR UN AVIS MEDICAL AVANT D’UTILISER CE MÉDICAMENT DANS UN BUT ANTALGIQUE EN POST OPÉRATOIRE.Par contre, les patients sous aspirine pour des problèmes cardiaques ne doivent pas interrompre leur traitement.

Le saignement post opératoire

Après une intervention chirurgicale, un léger saignement peut persister pendant les jours suivants, lors des repas, de l’hygiène buccodentaire… Ceci est normal et sans gravité. Attention ne confondez pas saignement et salivation abondante rougie par un peu de sang !Une intervention de chirurgie buccale peut entraîner l’apparition d’un hématome ou d’ecchymoses (bleus). Cela est très variable en fonction des personnes et en fonction de l’intervention. Les ecchymoses passent par différentes couleurs (bleu, vert, jaune) puis disparaissent en 8 jours environ.

– CE QU’IL FAUT FAIRE pour éviter de trop saigner :

  • Ne pas cracher mais avaler votre salive.
  • Ne pas manger ni boire chaud pendant les 2 premiers jours. Préférez les aliments et boissons tièdes ou froides (ex : glaces en dessert).
  • Eviter tout mouvement de succion et d’exploration de la plaie avec la langue ou les doigts.

– CE QU’IL FAUT FAIRE si un saignement abondant apparaît :

  • Ne pas s’affoler. Se mettre au calme.
  • Placer directement sur l’endroit qui saigne une ou deux compresses ou un nœud confectionné dans un angle de mouchoir (pas de coton) et mordre fort. Le saignement doit s’arrêter, c’est le signe d’une action au bon endroit. Maintenir cette pression sans interruption pendant 30 minutes pour une efficacité durable. Rester en position demi-assise.

L’infection 

Une fièvre modérée est fréquente dans les 24 – 48 heures qui suivent une intervention. Ceci n’est pas le signe d’une infection.L’infection est liée aux microbes de votre bouche et aux débris alimentaires qui peuvent infecter la ou les zones opérées. Elle se manifeste le plus souvent 3 semaines après l’opération, plus rarement à 8 jours, 15 jours ou 1 mois. Dans ce cas et alors que tout est rentré dans l’ordre (disparition de l’œdème et des douleurs), un ou des signes suivants peuvent réapparaître : un gonflement de la joue, des douleurs, une sensation de mauvais goût dans la bouche.Dans le cas où vous rencontreriez ces signes, contacter votre chirurgien afin qu’il vous revoie pour effectuer un geste local de nettoyage. 

– CE QU’IL FAUT FAIRE pour limiter ce risque d’infection :

  • Bien prendre les antibiotiques s’ils vous ont été prescrits sur votre ordonnance.
  • Reprendre une hygiène buccodentaire rigoureuse, (brosse à dents + dentifrice) dès le lendemain matin, après chacun des trois repas (mais pas plus de trois fois par jour !) comprenant brossage, puis bain de bouche doux (pas trop énergiques, pas de gargarisme).
  • Dans le cas où votre chirurgien vous a prescrit une brosse à dents 7/100ème post opératoire : utiliser cette brosse, imbibée de bain de bouche dilué, dans le(s) secteur(s) opéré(s) et sur les fils pendant les 8 premiers jours.

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L’alimentation et les boissons

Si une anesthésie locale vous a été réalisée sur la mâchoire du bas, l’anesthésie peut endormir aussi la langue. Pour éviter les troubles de la déglutition (fausses routes), il est recommandé de ne pas manger, ni boire avant que l’anesthésie locale de la langue ait disparue (environ 2 heures).

Du fait de l’intervention, la gencive est plus sensible sur les zones opérées. En conséquence éviter pendant 8/10 jours :

  • les aliments et boissons « agressifs » : acide, vinaigré, épicé…
  • l’alcool (il gêne la cicatrisation et interfère avec les médicaments prescrits).
  • les aliments croustillants (croûte de pain, frites, pizza…).

Dans le cas d’intervention sur la mâchoire du bas, plus rarement sur la mâchoire du haut, des courbatures musculaires peuvent survenir. Afin de « lever ces courbatures » faire des mouvements d’étirements doux en ouverture buccale et sur les côtés. La mastication est inconfortable mais n’est pas contre indiquée. La majeure partie de notre alimentation classique est tout à fait possible (poisson, œuf, viande hachée ou en sauce, pâtes, riz, légumes cuits, fromage, etc.…). Vous adapterez votre alimentation en fonction de la gêne que vous ressentirez.

Divers

  • Lorsque vous sortez du service d’hospitalisation, vous devez être accompagné et ne pas conduire.
  • Ne restez pas seul à votre domicile pendant la nuit qui suit l’intervention.
  • Si vous avez besoin de vous lever la nuit, restez assis sur le bord du lit avant de vous déplacer afin de prévenir les étourdissements.
  • NE FUMEZ PAS PENDANT 8 à 10 JOURS. Le tabac retarde la cicatrisation, augmente les douleurs et les risques d’infection.
  • Evitez les efforts physiques intenses (port de charges lourdes, sports intensifs, activité tête en bas…) pendant quelques jours.
  • Prenez du repos pendant 3 jours environ (variable en fonction de l’intervention). Si besoin, un arrêt de travail vous a été prescrit par votre chirurgien.
  • Des nausées et/ou des vomissements (noirâtres liés à l’ingestion de sang) ainsi que quelques vertiges sont parfois observés.

En cas de questions ou de problèmes

  • Vous devez contacter en priorité votre chirurgien à son cabinet.
  • En dehors des heures d’ouverture du cabinet (la nuit et le week-end), en cas d’urgence, vous pouvez appeler joindre le docteur Ernenwein sur son téléphone portable dont le numéro se trouve sur l’ordonnance.
  • Enfin, le 15 vous permettra de joindre le SAMU en cas de problème grave et urgent

  • Dernière mise à jour de la page: 27/06/2012

 

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Comment faire pour avoir des implants moins chers?

Pour mieux répondre à cette question, il faut avant tout comprendre de quoi est fait le prix d’un implant :

Au moins 40% du prix global d’un implant posé est représenté par les charges sociales, la TVA,… qui payent le chômage, les retraites, nos chimiothérapies, et autres affections de longues durée …. et le train de vie de l’état

Les grandes marques d’implants vendent leurs produits dans le monde entier, elles en assurent la pérénité dans le temps et le suivi des pièces nécessaires à la maintenance.

Cette sécurité dans le temps se paye, c’est  la possibilité de faire changer une pièce de vos implants dans dix ans dans une autre ville, un autre pays.

La qualification des praticiens en France et en Europe occidentale, est très élévée… et justifie des honoraires en rapport.

Les normes recommandées en France pour poser des implants dentaires est très au dessus des pays Low Cost…

Pour faire chuter le prix, il y a plusieurs pistes :

1° on voit apparaitre des « génériques » d’implants appelés clones. Mais le prix de l’implant ne comprend pas la main d’œuvre… et rien ne garantie la qualité de fabrication.

2° ne pas payer les charges sociales, ( on peut rêver)

3° Baisser les normes de sécurité (chacun sa roulette Russe, ou plutôt : Roumaine, Tunisienne, Tchèque,  Turque….)

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L’arrêt de travail après la pose d’implant

Dans la plus par des cas, la sécurité sociale ne prend pas en charge les implants dentaires, ou la chirurgie pré-implantaire, il en va de même pour les prescription de médicament (antibiotique, antalgique, bain de bouche…) et pour l’arrêt de travail qui suit le geste.

Pour autant, comme pour les chirurgies esthétiques, il est souvent prudent de prévoir quelques jours d’éviction sociale, du fait de l’oedème eventuel, des douleurs, des bleus…

En général, si l’intervention est faite le vendredi le retour au travail le lundi ne pose pas de problème.

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L'hôpital d'enfant Robert Debrè

parce que le sourire des enfant est notre plus beau cadeau et leur avenir social

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Les matériaux de substitution

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’allogreffe. 

 

 

 

 

C’est l’utilisation de greffons humains. Ils proviennent de banques. Ils existent sous différentes formes et ne présentent naturellement aucun risque de contamination car seules les trames organique et minérale sont concernées. Ce type de greffons  peuvent être utilisés lors de reconstitutions maxillofaciales importantes. Mais la plupart du temps, les greffes osseuse utilisent des greffes autogénes…

 

 

 

 

La photo nous montre un os d’origine humain mis en condition sous forme de membrane de 1.5 sur 1.5 cm permettant une augmentation en volume de la crête osseuse.

 

 

 

 

 

  Les xénogreffes.   Les plus utilisées sont issues de la portion minérale d’os de bovin. Ils ne présentent, en théorie, aucun risque de contamination  et sont couramment utilisés pour les petits manques osseux et les greffes de sinus. C’est par exemple, le Bioos

 

 

 


Les matériaux synthétiques.   Les plus utilisés sont les phosphates tricalciques. Les indications sont les mêmes que les Xénogreffes.

 

  Dernière mise à jour de la page :  22/07/2012

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